Communiqué de Presse : 20 août 2021
Publié le lundi 23 août 2021
Bruxelles 20 août 2021 : Position de l’Uneb, secteur de l’esthétique et du bien-être francophone : « Aujourd’hui, la suppression du port du masque dans le secteur n’est pas à l’ordre du jour et nous ne le demandons pas ! ».
L’Uneb, la fédération de l’esthétique et du Bien-Etre francophone, fédération siégeant en commission paritaire 314 , estime que les assouplissements actuels octroyés au secteur des métiers de contacts dont l’esthétique et le Bien-Etre sont aujourd’hui suffisants. Le secteur a pu reprendre son activité, c’est le plus important. Le secteur mentionne qu’il est désormais permis aussi de rouvrir une salle d’attente avec le respect des 1,5m entre les clients, de leur offrir une boisson. La Fédération rappelle qu’elle a travaillé avec intensité à l’élaboration des protocoles sanitaires du secteur pour justement permettre au secteur de rouvrir dans de bonnes conditions, ensuite à implémenter ces protocoles auprès des affiliés dans un souci de rendre l’accès aux soins « safe » tant pour les clients que pour les praticiens eux-mêmes.
Laurence Wuylens, Présidente de l’Uneb, déclare : « Bien entendu, un jour ou l’autre il faudra parler du maintien ou non du port obligatoire du masque en intérieur mais à la veille de la rentrée de septembre et de retour de vacances, c’est totalement prématuré et ce n’est pas notre exigence ». « Nous voulons encore aujourd’hui travailler dans un environnement protégé pour tous, rassurer notre clientèle et aussi nos praticiens ». « Pour nous aujourd’hui , la suppression du port du masque n’est pas à l’ordre du jour et nous le demandons pas ! ».
La fédération de rappeler également que l’automne est à nos portes, que le Corona continue à se diffuser. Le port du masque aujourd’hui révèle plus d’avantages que de réels inconvénients dans les circonstances actuelles. Le plus important est de rester ouvert et de travailler, même si aujourd’hui, le chiffre d’affaire moyen n’est pas encore revenu au niveau 2019.
L’Uneb a par ailleurs fait part de sa position à son ministre de tutelle David Clarinval.