l’UNEB fédération de l’Esthétique et du Bien-Être demande au Gouvernement de réfléchir à 2 fois avant de décider de refermer encore une fois le secteur de l’esthétique et plonger des milliers d’indépendants encore une fois dans l’inactivité.

Laurence Wuylens, Présidente de l’UNEB, conteste encore une fois ces analyses à priori sur les différents secteurs du commerce.

Depuis maintenant 1 an que la crise est là, aucune étude sérieuse n’a été faite sur nos secteurs pour évaluer le risque de les laisser ouvert rappelle Laurence Wuylens.

Les virologues persistent à préférer d’apprécier à priori des risques potentiels plutôt que de les mesurer et les identifier scientifiquement !

L’UNEB ne veut pas que les commerces et spécifiquement son secteur servent encore une fois d’otage pour créer un «électrochoc» auprès de la population ! Que l’on sanctionne les carnavals illégaux, que l’on verbalise les concentrations de jeunes dans les parcs, voilà les lieux qui alimentent l’épidémie mais là on constate et regrette…

Quant à la situation de l’enseignement, l’UNEB ne comprend pas toutes ces tergiversations depuis bien longtemps aux alentours, si ces dernières sont lieux de contaminations, elles doivent être fermées. Il n’y a pas lieu de faire de grands dessins pour le comprendre ! Ce n’est pas en fermant les salons d’esthétiques que l’on rendra les écoles moins contaminantes ! L’UNEB exprime le ras le bol mais aussi l’injustice de traitement ressentis par ses membres entre les différents acteurs de la société!